Quelques témoignages qu’ils ont recueillis résument bien leur propos: “Les femmes du groupe nous poussent à y aller, elles nous chambrent si on n’y va pas. “Les violences produites le sont d’une manière générale en fonction de rapports de domination complexes où interagissent le masculin et le féminin”, maillot de foot pas cher analysent les sociologues. 530 membres des noyaux durs violents de plusieurs clubs de supporteurs français ont été interrogés: 17,7% sont des femmes, et si elles ne finissent pas souvent au cœur des bagarres, elles y participent souvent de manière détournée.